596 Seiten
48,00 EUR
(inklusive MwSt. und Versand)
ISBN 978-3-7316-1400-5
(15. Januar 2020)
Hardcover
Die Transformationen, die der Kapitalismus seit den Lebzeiten von Friedrich Engels durchgemacht hat, sind enorm. Viele der Widersprüche des 19. Jh. haben sich heute auf die globale Ebene verlagert. Gleichzeitig wird deutlich, dass inzwischen der kapitalistischen Dynamik Grenzen gesetzt werden. Wir haben nur eine Welt. Gerade vor diesem Hintergrund ist es ein reizvolles Unterfangen, sich im 21. Jh. erneut mit Friedrich Engels, seinem Werk und seinem Wirken zu beschäftigen. Zukunft braucht Herkunft, Erinnerung, aber auch die kritische Auseinandersetzung mit vermeintlich ewigen Wahrheiten.
In diesem Sinne befassen sich die Beiträge des Bandes mit Friedrich Engels und seinem Werk, welches im Unterschied zu zahlreichen Interpretationen durchaus eigenständige und eigenwillige Züge hat. Die Bandbreite der Themen und Disziplinen ist enorm: Ökonomie, Philosophie, sozialwissenschaftliche Analysen, Religionskritik, Dialektik der Natur ... Mit Rückblick auf und mit Hilfe von Friedrich Engels geht es darum, auch für die Gegenwart und Zukunft Zusammenhänge zu erkennen, treibende Kräfte gesellschaftlicher Entwicklungen zu identifizieren sowie Herrschaftsverhältnisse in Frage zu stellen.
Die Autorinnen und Autoren nehmen diese Impulse auf und schlagen einen Bogen zu den Fragen unserer Zeit: Globalisierung, nachhaltige Entwicklung, technischer Fortschritt, Geschlechterverhältnisse, Arbeits- und Lebensformen, Religion und Moral. Dabei geht es kontrovers und lebendig zu, Denkanstöße für aktuelle und zukünftige Diskurse werden gegeben. Auch Friedrich Engels braucht den Widerspruch, damit sein Denken für die Zukunft gut aufgehoben ist.
Unter den Autor/innen dieses Bandes befinden sich viele Menschen aus der Heimat von Friedrich Engels. Es handelt sich deswegen aber keineswegs um eine eher lokal gerichtete Publikation. Im Gegenteil: bis heute hat die Fehleinschätzung, Engels gegenüber Marx als völlig nachgeordnet zu betrachten (begünstigt durch seine bescheidene Selbsteinschätzung als "zweite Violine"), dazu geführt, dass eine auf Friedrich Engels konzentrierte Untersuchung eigentlich nie angemessen stattgefunden hat und längst überfällig war.
"Le 28 novembre 2020 marquait le 200e anniversaire de la naissance de Friedrich Engels et deux ouvrages collectifs ont marqué cet anniversaire. Les contributeurs sont des spécialistes de l'histoire du 19e siècle, pour la plupart historiens ou économistes dans le premier ouvrage mais aussi sociologues ou artistes dans le cas du deuxième. Il faut souligner l'originalité des contributions soit parce qu'elles incorporent des textes inconnus d'Engels soit parce qu'elles les confrontent à des données historiques ou à des auteurs vis-à-vis desquels il est peu fréquent de situer la tradition marxiste.
Dans le livre sur Le Caméléon rouge et noir, Jürgen Herres souligne tout d'abord l'abondance des écrits publiés par Engels qui contraste avec l'œuvre largement inédite de Marx à sa mort. Il en résulte que c'est Engels qui a déterminé la réception de Marx par la par la première génération de théoriciens et d'hommes politiques marxistes. W. Nippel montre que cette transmission a été délibérément voulue par Engels qui a magnifié le rôle de Marx dans le mouvement ouvrier.
L'industrialisation est apparue comme une "révolution" déclenchée par des inventions techniques, qui ont bouleversé de multiples domaines. Engels a esquissé une anthropologie de la technologie qui différait de la compréhension des machines de l'hégélien Karl Marx, qui, de son propre aveu, avait peu de compétences techniques, mais élaborait une nouvelle relation théorique homme-machine dans le Capital pour expliquer le développement des forces productives. Un autre auteur allemand contemporain de Marx et d'Engels, Ernst Kapp présentait sa propre philosophie de la technologie en Allemagne. Eberhard Illner compare les conceptions de la technologie d'Engels, de Marx et celles de Kapp.
Les articles d'Engels sur la science militaire sont un exemple particulier de ses conceptions des relations entre la technique et la société. Kurt Moser évalue à partir d'un exemple concis, l'armement des navires de guerre américains pendant la guerre de Sécession, la qualification de "général" attribuée à Engels pour la conduite de la guerre navale.
Cette guerre a été le cadre dans lequel Engels s'est penché sur la technologie militaire mais elle lui a aussi permis de s'intéresser à l'économie et à la société américaine. James Brophy présente ses analyses de l'économie et aussi de la mentalité des travailleurs américains, si différente de celle de l'Allemagne et de la France.
Werner Plumpe s'intéresse aux réponses d'Engels au contraste entre l'abondance des biens et les changements des habitudes de consommation de la bourgeoisie de l'époque et la "misère" de la classe ouvrière. Dans son modèle explicatif historique, élaboré avec Marx, se trouve une dynamique de développement reposant sur l'antagonisme des forces productives et des rapports de production conduisant nécessairement à l'effondrement du capitalisme. Ces prédictions d'Engels ne se sont pas réalisées et sa conception des forces productives est, selon W. Plumpe, aussi naïve que rigide : naïve parce qu'il suppose une sorte d'automatisme régulier dans leur déroulement, rigide parce qu'il considère comme immuables les entraves des rapports de production, tels qu'il les apercevait dans les années 1840.
Afin de classer les "conditions d'exploitation" critiquées par Engels dans La Situation de la classe ouvrière en Angleterre en 1844, Margrit Schulte Beerbühl donne un aperçu des relations de travail en Grande-Bretagne, en se concentrant sur Manchester et Londres.
Dès ses premiers travaux économiques, en 1844/45, Esquisse d'une critique de l'économie politique et La Situation de la classe ouvrière en Angleterre en 1844, Engels s'est vivement élevé contre la théorie économique de son temps. Hans Frambach s'étonne que les idées de Lorenz Stein, qui ont contribué à faire connaître le socialisme en Allemagne, n'aient guère été remarquées par Engels. IL montre également que la métaphore de la destruction créatrice, popularisée par Joseph Schumpeter au XXe siècle était déjà présente dans la pensée et les actions d'Engels.
Heinz D. Kurz se sert d'Esquisses pour analyser la perception de l'économie politique d'Engels. Il a souvent mal compris l'économie politique classique, ou lui a attribué des vues qu'elle n'a jamais eues. Ses remarques sur la société future sont restées sans saveur. Il a abordé le problème de l'information mais a sous-estimé ses implications pour l'organisation d'une société sans marché.
Si les Esquisses sont à l'origine de la préoccupation d'Engels pour l'économie, il sera le premier interprète de Marx à travers la publication des volumes 2 et 3 du Capital. L'analyse détaillée des étapes de la création des manuscrits et du très vaste travail éditorial d'Engels apporte, selon Regina Roth, la preuve du rôle déterminant d'Engels en ce qui concerne la théorie économique de Marx, l'orientation fondamentale du mouvement socialiste et les questions de politique.
Mais comment ce capitalisme s'est-il développé "après Engels" ? Dans un bref aperçu des changements essentiels survenus depuis Engels, Norbert Koubek avance que, comme à l'époque d'Engels, les questions du développement de la population, de la répartition des richesses et des changements induits technologiquement et socialement dans les processus de travail demeurent.
Dans sa conclusion, Jürgen Kocka soutient qu'Engels, malgré la présence de nombreux éléments bohèmes et autres éléments non bourgeois dans son style de vie et malgré sa critique tranchante de la bourgeoisie, Engels doit être considéré comme un produit de la bourgeoisie d'Europe occidentale du XIXe siècle.
L'ouvrage replace fermement Engels dans le cadre du XIXe siècle, une distanciation qui est renforcée par une iconographie remarquable rassemblée par Eberhard Illner. Plus de 200 illustrations souvent peu connue montrent le monde dans lequel a évolué Engels, un cadre dont l'imagerie autour de Marx et d'Engels est elle-même une composante importante.
Cette distance historique est tout à fait à l'opposé du parti pris choisi dans le second ouvrage dans laquelle une vingtaine d'auteur-e-s (dont deux avaient déjà contribué au premier ouvrage) reprenant parfois les mêmes thèmes mais aussi d'autres (la religion ou la famille) établissent un lien entre les combats d'Engels en son temps et beaucoup de luttes actuelles. Ainsi Engels a souligné l'importance des relations entre les sexes particulièrement tôt. Il a aussi interrogé le rôle des religions dans les revendications sociales soulignant dans ses derniers travaux sur l'histoire du christianisme primitif sur les similitudes entre les premiers mouvements chrétiens et socialistes. Mais Engels s'est aussi intéressé à des questions toujours d'actualité comme celle du logement pour laquelle il est loin de rejeter les solutions pragmatiques.
Si l'élargissement de la perspective offert par Priem et alii est bienvenu, au moins deux thèmes pour lesquels une réévaluation serait bienvenue ne sont pas traités, il s'agit des nations et de la colonisation. Cependant ces deux ouvrages tirent Engels de l'ombre de Marx et le lecteur en aura une connaissance plus profonde que celle fournie par les biographies récentes qui lui ont été consacrées et ont révélé différents aspects de l'homme privé.
... Natürlich durfte das bis zum Überdruss wiederholte Vorurteil von der messianischen Erwartung, die sich nach der Abkehr von der Religion auf das kommunistische Paradies verlagerte, auch in diesem Buch nicht fehlen. Es findet sich allerdings nicht in den genannten Artikeln, sondern im Beitrag von Werner Plumpe, für den selbst das Kommunistische Manifest noch den "Duktus" einer Predigt besitzt und eine "säkularisierte Heilsbotschaft" verkündet. Davon abgesehen gibt Plumpe, ebenso wie Schunter-Kleemann und Lerch, einen informativen Überblick über die "Lehrjahre", in denen sich Engels - entlang seiner Stationen in Elberfeld, Bremen, Berlin, Köln und Manchester - vom gläubigen Pietisten zum Kommunisten entwickelt.
Dass uns Engels - auch hier geht es ausschließlich um den jungen Engels - mehr oder weniger nichts mehr zu sagen hat, lautet die Antwort von Heinz D. Kurz, der Engels' Umrisse zu einer Kritik der Nationalökonomie in einer schulmeisterlich-herablassenden Weise bespricht. Während Marx diese "geniale Skizze" noch im Kapital wiederholt zustimmend zitiert, bescheinigt ihr Kurz "höchst ungenügende Kenntnisse" der klassischen Ökonomie und eine größtenteils "schiefe, problematische und schlicht unhaltbare" Behandlung ihres Themas. Reiht man aneinander, was er an den Umrissen alles vermisst, so gewinnt man allerdings den Eindruck, er kritisiert keinen 25-seitigen Essay, sondern ein professorales fünfbändiges Standardwerk. Ungleich lesenswerter ist der Aufsatz von Michael Krätke, der die eigenständigen Leistungen von Engels - noch vor seiner Freundschaft und Zusammenarbeit mit Marx - auf dem Gebiet der Ökonomie herausarbeitet. Dabei benennt er jene Gedanken wie etwa die Unterscheidung von Gebrauchs- und Tauschwert der Ware, den quasi-naturgesetzlichen Ablauf der Konjunkturzyklen oder der doppeltfreien Lohnarbeit, die Marx im Kapital dann auf systematische Weise entwickelt. Beachtung schenkt Krätke insbesondere auch der Sorgfalt, mit der Engels die "Transformationen", d.h. die geschichtlichen Veränderungen des Kapitalismus verfolgt, wie er z. B. die steigenden Löhne, die wachsende Absicherung der Arbeiter oder die zunehmende Bedeutung der Börse registriert und in seine Kritik der kapitalistischen Produktionsverhältnisse mit einbezieht. Was der junge Engels im Gegensatz zu den heutigen marktradikalen Neoliberalen schon wusste und "uns heute noch zu sagen hat": Der freie Markt ist kein Allheilmittel. Ökonomische Krisen werden durch das sich selbst überlassene Marktgeschehen nicht überwunden; sie vertiefen sich vielmehr in zyklischen Abständen. ...... Der am 28. November 1820 in Barmen im Wuppertal als Sohn einer Industriellenfamilie geborene Friedrich Engels galt als rheinische Frohnatur; nicht nur in Manchester und London war er ein stets gut gekleideter Herr in Gehrock und Zylinder von großem Humor und mit Spottlust ausgestattet; ein Bonvivant, Frauenheld, passionierter Fuchsjäger und erfolgreicher Baumwollmagnat. Er war ein tiefsinniger Moralist und ein scharfer Kritiker der kapitalistischen Produktionsweise, heißt es in Michael Krätkes vorzüglichem Lesebrevier Friedrich Engels oder: Wie ein ,Cotton-Lord' den Marxismus erfand, das auch Texte von Friedrich Engels sowie einige ausgewählte Briefwechsel, Erinnerungen und Interviews enthält, darunter eines mit der Zeitung Le Figaro vom 8. Mai 1893.
Seine ersten Aufsätze und Artikelserien publizierte der junge Engels noch anonym, da er Rücksicht auf seine Familie zu nehmen hatte; die Briefe aus dem Wuppertal über die Bedingungen im Industrierevier von Barmen sorgten für helle Aufregung unter seinen Landsleuten. Der Industriellensohn hielt ihnen einen Spiegel vor, in den sie nicht blicken mochten. Er schilderte die armseligen Lebens- und Arbeitsbedingungen der Arbeiter, die Kinderarbeit und Pauperisierung der Handwerker sowie die unerträglichen Wohnverhältnisse in den Arbeitervierteln; die Zerstörung der Umwelt durch die Fabriken, die Flüsse und Bäche in Kloaken verwandelten und die Luft verschmutzten. Hätte sein Vater den Autor dieser Artikel gekannt, er hätte ihn vor die Tür gesetzt, vermutet Krätke in seinem einleitenden Essay.
Der Geschäftsgeist der Fabrikherren in Barmen und Elberfeld verband sich mit einem pietistischen Klima. " 'Mit irdischem Erwerb beschäftigt, die himmlischen Güter nicht außer Acht lassend', so hat Goethe rückblickend auf seinen Elberfelder Aufenthalt von 1774 die Wesensart der Bevölkerung dieser 'betriebsamen Gegend' charakterisiert." Und wenige Jahre später schwärmt der Theologe Gottfried Menken, ein Vertreter der Erweckungstheologie in Nordwestdeutschland, über das Erstarken der niederrheinischen Erweckungsbewegung: "In dieser Gegend ist überhaupt so viel Religiosität und Frömmigkeit wie vielleicht in keiner anderen Gegend in Deutschland."
Mit diesen Worten in ihrem überaus lesenswerten Beitrag Religiöser Wahn - Ein seit Engels' Kritik unabgeschlossenes Thema im neu erschienenen Sammelband Arbeiten am Widerspruch - Friedrich Engels zum 200. Geburtstag, beschreibt Susanne Schunter-Kleemann prägnant das Wuppertal als Zentrum des Spät- und Restaurationspietismus, in welchem man "von einer das öffentliche Leben beherrschenden pietistisch-kirchlichen Atmosphäre bis in den Vormärz hinein sprechen kann". In den Leitungsgremien der Kirchen fanden sich zumeist Mitglieder der wirtschaftlichen Oberschicht. So war Friedrich Engels' Vater Kirchenmeister in der von seinem Vater Johann Caspar Engels gestifteten Vereinigten-Evangelischen Gemeinde Unterbarmen.
"Viele der calvinistischen Geistlichen waren", so Schunter-Kleemann, "Anhänger der Prädestinationslehre. Sie sehen die unternehmerische Tätigkeit als Mittel christlicher Bewährung und deuten - ganz im Sinne der wohlhabenden Fabrikherren - deren kommerziellen Erfolg als Zeichen des Bestehens vor Gott." Diese geschäftstüchtige Seite der protestantischen Ethik wurde "sinnigerweise ergänzt durch einen weltverneinenden, asketischen Zug. Erweckte Geistlichkeit und fromme Unternehmerschaft sind sich einig, dass sinnliche Vergnügungen und Genüsse wie Alkohol, Tanz oder Musik, 'Verlockungen des Teufels' " seien. ...
Insgesamt handelt es sich um eine anregende Lektüre nicht nur für kritische Ökonom*innen und Sozialwissenschaftler*innen. Sie zeigt, dass Engels in seiner Zeit Fragen aufgeworfen hat, die auch heute noch nach wissenschaftlichen Antworten rufen und die insofern in praktischer Absicht nutzbar gemacht werden können. Der Band gliedert sich ein in die Aktivitäten der Stadt Wuppertal zum 200. Geburtstag ihres bekannten Sohnes, immerhin gehören zwei der Herausgeber zu den Kuratoren. Die lesenswerten Beiträge gehen aber durchaus über eine lokale Würdigung hinaus.
Zum umfangreichen Programm der Stadt Wuppertal anlässlich des 200. Geburtstags von Friedrich Engels gehört auch ein Sammelband mit 20 Beiträgen und einem Geleitwort des Kulturdezernenten Matthias Nocke. Der lokale Bezug einer-, die überregionale Auswahl der Themen und Autor(inn)en andererseits führt zu einer großen Spannbreite. In ihrer Einleitung nennen die drei Herausgeber das Ziel ihrer Bemühung: Es sollte ein Buch werden, "das dem Wirken und dem Werk von Friedrich Engels nachspürt und nachfragt, was dieser Mensch uns heute noch zu sagen hat und warum es heute noch bzw. wieder erst recht sinnvoll ist, sich damit zu beschäftigen." Professionelle Marx-Engels-Forscher(innen) sind eine Minderheit unter den Verfasser(inne)n. Hoch ist dagegen der Anteil von Praktiker(inne)n: Volks- und Betriebswirt(inn)en, Genossenschaftsspezialist(inn)en, Raumplaner(innen) und - besonders - in der Umweltpolitik Engagierten. Diese Schwerpunktbildung zeigt sich auch in den Profilen der Herausgeber: Rainer Lucas ist Industriekaufmann und Diplomökonom, leitete von 1990 bis 2000 das Wuppertaler Regionalbüro des Instituts für ökologische Wirtschaftsforschung (IÖW) und arbeitete bis 2018 als Projektleiter im Wuppertal Institut für Klima, Umwelt, Energie. Reinhard Pfriem war Initiator und geschäftsführender Gesellschafter des IÖW und 1994-2017 Professor für allgemeine Betriebswirtschaftslehre und betriebliche Umweltpolitik an der Carl von Ossietzky-Universität Oldenburg. Hans-Dieter Westhoff, zunächst Marketing-Fachmann für bergische Firmen, ist selbständiger Unternehmensberater, Verleger, Fachjournalist und zusammen mit Rainer Lucas Kurator für das Engels-Festjahr 2020.
Die Aufsatzsammlung ist in vier Abschnitte gegliedert: "1. Leben, Suchen, Emanzipieren", "2. Weltanschauung, Religion, Materialismus", "3. Arbeiten, Leben, Geschlechterverhältnisse", "4. Wissenschaft, Utopie, Zukunft". Genaueres als aus diesen Überschriften erfährt man, wenn man sich den aktuellen Problemen zuwendet, von denen die meisten Aufsätze ausgehen: zuvörderst die Umweltkrise, dann Wohnungspolitik, Geschlechterverhältnisse (die als einzige in der Großgliederung genannt werden), die Dominanz marktradikaler ("neoliberaler") Wirtschaftspolitik und -theorie, die Wahrnehmung einer gesamtgesellschaftlichen Umbruchssituation, das Vordringen modernefeindlicher Massenbewegungen.
Hierzu werden nun Anschlüsse zu einzelnen Schriften von Engels gesucht. Als solche bieten sich an: die "Briefe aus dem Wuppertal" (1839-1841), die "Umrisse zu einer Kritik der Nationalökonomie" (1844), "Die Lage der arbeitenden Klasse in England" (1845), "Zur Wohnungsfrage" (1872/1873), "Dialektik der Natur" (1873-1883; 1885/1886), "Herrn Eugen Dührings Umwälzung der Wissenschaft" (1877/1878), "Die Entwicklung des Sozialismus von der Utopie zur Wissenschaft" (französisch 1880, deutsch 1882), "Der Ursprung der Familie, des Eigentums und des Staats" (1884).
Ein Gegenwartsproblem, von dem aus Bezüge zu Engels hergestellt werden könnten, fehlt: Geopolitische Konflikte, Kriege und Kriegsgefahr. Der Autor Ulrich Klan berichtet etwas von "Militärbegeisterung" des Jubilars, die er "naiv und gefährlich" findet. In der Schrift "Kann Europa abrüsten?" (1893) liest er lediglich eine Anleitung zum "Exerzierunterricht" an Schulen (548). Hier fehlt Kenntnis anderer Schriften und der Briefe des späten Engels, in denen er den Rüstungswettlauf seit den achtziger Jahren des 19. Jahrhunderts analysiert und vor einem Weltkrieg warnt. Die Verbindung zwischen der Empfehlung für das Milizsystem in "Kann Europa abrüsten?" und der Friedenspolitik hätte Klan im schon 1887 verfassten "Brief an das Organisationskomitee des internationalen Festes in Paris" (MEW 21, S. 344/345) finden können.
Das zentrale Thema des Denkens und Handelns von Engels: die Revolution (= ihre Theorie und die auf dessen Umsetzung orientierte Politik) wird in den in diesem Buch versammelten Aufsätzen zwar immer wieder zur Kenntnis genommen, gilt aber entweder als überholt oder zumindest aktuell bedeutungslos. Dies erfolgt oft eher stillschweigend, hin und wieder aber auch explizit. Peter Hennicke, der ehemalige Präsident des Wuppertal Instituts, schreibt: "In der früher heiß umstrittenen Frage 'Revolution oder Reform' hat sich das 21. Jahrhundert wohl am deutlichsten vom historischen Kontext und den Zukunftsvisionen von Marx und Engels entfernt. Sie ist womöglich heute nur noch eine politikwissenschaftlich interessante Nebenfrage." (492) Hinzuzufügen wäre: noch nicht einmal das. Damit ist aber kein konkreter Bezug zwischen diesem Buch und dem, was für Engels das Allerwichtigste war, herzustellen, und es bleiben stattdessen Einzelthemen, die er behandelte und die auch einige Autoren des Bandes gleichermaßen interessieren. Da es sich um einen Geburtstagsband handelt, ist die ex- oder implizite Feststellung der Unvereinbarkeit von historischen und aktuellen Positionen freundlich.
Der Genossenschaftstheoretiker und -praktiker Burghard Flieger überprüft Engelsʼ Schrift zur Wohnungsfrage daraufhin, "inwieweit diese sich nutzen lässt, Anstöße für zukunftsfähige wohnungsgenossenschaftliche Konzepte zu finden" (335). Das führt ihn zur Erörterung von Konzeptionen, darunter des Proudhonisten Mülberger und bürgerlicher Reformer, die von Engels damals kritisiert wurden, weil sie nicht über den Kapitalismus hinausführten und die Wohnungsfrage erst in einer sozialistischen Gesellschaft gelöst werden könne. Auch hier steht die Berufung auf eine proletarische Revolution gleichsam als Hindernis vor der Behebung von Gegenwartsproblemen: "Vor diesem Anliegen von Engels erweist es sich als schwierig, positive Ansätze aus seinen Aussagen für eine zukünftige Gestaltung von Wohnungsbaugenossenschaften herauszuarbeiten." (351)
Susanne Schunter-Kleemann schlägt unter der Überschrift "Religiöser Wahn" einen Bogen von den "Briefen aus dem Wuppertal", in denen pietistische Borniertheit diskutiert wird, zu den evangelikalen Unterstützer(inne)n Trumps. (163-190) Noch aktueller könnte der Versuch sein, historische Analogien zu heutigen Bewegungen zu finden, die häufig als "rechtspopulistisch" bezeichnet werden. Er wird in diesem Buch nicht unternommen, obwohl in Engelsʼ Auseinandersetzung mit dem Boulangismus sich etwas finden ließe.
Wenn Revolution ausgeschlossen werden muss und - wie dies bei den Autor(inn)en dieses Bandes der Fall ist - Konservatismus abgelehnt wird, bleibt der Weg konsequenter Reform, der hier auf immer neuen Feldern, insbesondere in der Auseinandersetzung mit der Klimakrise sowie der Bewältigung aktueller gesellschaftlicher Umbrüche, gesucht wird. Erweisen sich die gegenwärtigen Machtverhältnisse als vor der Hand unüberwindliche Hindernisse, wird von Reinhard Pfriem folgende Forderung erhoben: "Der Begriff der (realen) Utopie ist unbedingt zu rehabilitieren." (572) Das kann zugleich als Umkehrung des Kurses gelesen werden, den die beiden Begründer des Historischen Materialismus in den vierziger Jahren des 19. Jahrhunderts eingeschlagen hatten.
Adelheid Biesecker, Frigga Haug und Uta von Winterfeld gehen in einem brieflichen Gedankenaustausch, den sie zu dem Band beisteuern, über Engelsʼ These, dass der Übergang zur auf Ungleichheit begründeten Zivilisation "die weltgeschichtliche Niederlage des weiblichen Geschlechts" brachte, hinaus: "Einig sind wir uns in unserer Kritik, dass Friedrich Engels gerade beim weiblichen Geschlecht mit der Dialektik sozusagen aufhört und es stattdessen von einem fernen Zeitpunkt an in die Geschichtslosigkeit verbannt. So haben nur Gesellschaft und Natur eine Geschichte." (436) Unbeachtet bleibe der aktive Anteil der Frauen im Prozess der Unterdrückung und Emanzipation.
Der Beitrag von Biesecker, Haug und v. Winterfeld gehört zu der - über den Band verstreuten - Gruppe von Artikeln, die explizite Kritik an Engels üben. Heinz D. Kurz verteidigt David Ricardo gegen die "Umrisse zu einer Kritik der Nationalökonomie". (65-120) Er folgt der Aktualisierungsvorgabe des Bandes eher auf einem Umweg: In der Rezeption von Piero Sraffa wurde der Neoricardianismus zu einer Kritik an der heute dominierenden Neoklassik bei gleichzeitiger Abgrenzung von Marx und Engels.
Einige Beiträge brechen aus dem Vorhaben, es sei zu prüfen, was von Engelsʼ Werk heute noch brauchbar sei, von vornherein insofern aus, als sie ihn in ihren Detailstudien im 19. Jahrhundert belassen:
Immer wieder wurde behauptet, dass Marx den Reichtum seiner über die Ökonomie hinausreichenden Gedanken unter dem Einfluss des Freundes verengt habe. Michael Brie weist darauf hin, dass nicht nur dieser ein solches Opfer brachte: "Mit der Übersiedlung von Engels nach Brüssel im April 1845 endet das Nebeneinander zwei[er] großer Solisten und das 'Jeder-Für-Sich' [...]. Es endete damit auch die große Offenheit, die Engels bis dahin auszeichnete, das Nebeneinander verschiedener Erklärungsansätze und strategischer Orientierungen, das unabhängige Experimentieren und eigenständige fragende Suchen." (59) So gesehen hätte der Marxismus Marx und Engels nicht gutgetan - zu unserem Nutzen.
Werner Plumpe zeichnet detailliert Engelsʼ Weg vom "Supernaturalisten zum Kommunisten" zwischen 1839 und 1844 nach. (213-248) Die Frage nach der gegenwärtigen Bedeutung einer historischen Figur trägt das Verfallsdatum der Ergebnisse schon in sich: mit Ablauf der Jetztzeit verschwindet der Maßstab. So könnte es sein, dass die konsequent historisierenden Beiträge dieses Bandes eine größere Chance haben, auch von künftigen Generationen noch zur Kenntnis genommen zu werden, als die auf das Heute bezogenen.
Zum 200. Geburtstag von Friedrich Engels
Gunnar Sohn im Interview mit Dr. Lutz Becker.
Auf der Suche nach Friedrich Engels
"Arbeiten am Widerspruch": Buchvorstellung zum Engelsjahr - Literatur 02/20
"Auch Friedrich Engels braucht den Widerspruch, damit sein Denken für die Zukunft gut aufgehoben ist." Diese Überzeugung leitet die Herausgeber des Aufsatzbandes "Arbeiten am Widerspruch: Friedrich Engels zum 200. Geburtstag", der jetzt in der Buchhandlung Mackensen vorgestellt wurde. Anwesend im vollen Laden am Laurentiusplatz waren mehrere der insgesamt 23 FachautorInnen, die in dem Werk ihr Augenmerk auf verschiedene Inhalte richteten: Philosophische Einordnungen seines Denkens sind ebenso darunter wie Abhandlungen zur Umwelt bei Engels, zu Geschlechterverhältnissen oder auch zur Wohnungsfrage.
Entsprechend betonte Wuppertals Kulturdezernent Matthias Nocke die Pluralität von Engels' Tun und Denken: "Er war eine ungeheuer vielseitige Persönlichkeit." Als Einstieg zum Engelsjahr warb er dafür, dieses Spektrum in den nächsten Monaten zu erkunden, und dankte bei der Gelegenheit auch den anwesenden Kuratoren des Jubiläumsprogramms, Hans-Dieter Westhoff und Rainer Lucas für ihre Leistung, "in einer bemerkenswerten Kraftanstrengung dieses Programm zusammen zu stellen." Gemeinsam mit dem aus Wuppertal stammenden Professor Reinhard Pfriem sind sie auch die Herausgeber des Buches.
Gerade Letzterer gab im Verlauf des Abends eine politische Positionsbestimmung nicht nur seiner Person, die nicht selbstverständlich schien: "Ich will eine nach-kapitalistische Gesellschaft, die diesen Namen verdient." Mit Blick auf die heutige Eigentumsverteilung ließe sich für ihn sagen, dass wir in einer "Enteignungsgesellschaft" lebten, freilich nicht im Sinne neoliberaler Befürchtungen. Für die gegenwartskritische Tendenz des Buches schien das bedeutsam.
Die zwanzig Texte sind geordnet in vier Kategorien: 1. "Leben, Suchen, Emanzipieren", 2. "Weltanschauung, Religion, Materialismus", 3. "Arbeiten, Leben, Geschlechterverhältnisse" und 4. "Wissenschaft, Utopie, Zukunft". Doch wenn auch in dieser Aufzählung die Zukunft erst an letzter Stelle auftaucht: Im ganzen Buchprojekt scheint nicht zuletzt die Frage wichtig, wie Engels' Denken fürs Heute und Morgen anwendbar ist.
Mitherausgeber Lucas (Artikel: "Gesellschaften transformieren, aber wohin? Produktivkraftentwicklung und Nachhaltigkeit") mahnte im Kurzumriss seines Beitrags: "Wenn man diesen Prozess gestalten will, muss man auch sagen, wohin man will." Dabei setzte er sich direkt von Uwe Schneidewind vom Wuppertal Institut ab, der den Begriff Transformation nicht konkret genug mache. Kollege Westhoff ("Ein moderner Mann. Friedrich Engels und sein 19. Jahrhundert") gab unter anderem eine Gliederung seines Beitrags mit drei "Zumutungen" in Engels' Jugend - darunter sein "Drücken" vor dem Militärdienst, um lieber Hegel zu studieren. Später habe er Marx die Bedeutung des Komplexes Arbeit "erst vor Augen geführt". Pfriem ("Die Entwicklung der besseren Gesellschaft von der Wissenschaft zur Utopie. Ein Engels-Titel vom Kopf auf die Füße gestellt") sagte: "Er geißelt die Bigotterie, mit der schlechte Taten durch gutes Reden verschleiert werden."
Nach den drei Herausgebern war unter anderem Lutz Becker ("'What's Next, Fred?' Fliehkräfte. Krisen. Transformation") unter den Autoren, die ihren Beitrag kurz beschrieben. Er gestand, Engels lange als Macchiavellisten eher kritisch gesehen zu haben. Auch bekannte er sich ökonomisch zum Marktprinzip, stellte aber die Frage: "Sind wir überhaupt noch in einer Marktsituation?" Eva Bockenheimer von der Rosa-Luxemburg-Stiftung ("'Die Natur ist die Probe auf die Dialektik'. Nachdenken mit Friedrich Engels über Dialektik und die ökologische Krise der Gegenwart") knüpft an Hegels berühmtes Modell den Vorschlag, von Engels Anregungen zu beziehen, wie man heute "anders produzieren" könne. Lebendig stellte auch Uta von Winterfeld ihren Gemeinschaftstext mit Frigga Haug und Adelheid Biesecker vor ("Nachdenken über Friedrich Engels, über Geschlechterverhältnisse und gesellschaftliche Naturverhältnisse") und merkte bei aller Achtung vor dessen entsprechender Analyse an: "Damit nimmt er den Frauen den Status des historischen Subjekts."
Lars Hochmann ("Demokratien leben vom Widerspruch. Aufruf zur Kritik im Handgemenge") stellte seinen Beitrag in den Kontext heutiger Kontroversen - "in Zeiten der Klimakrise ... und ihrer Leugnung". Uli Klan schließlich ("Von der 'Wissenschaft' zu neuen Utopien - Antworten auf Friedrich Engels") ließ einen kritischen Blick seines Artikels erkennen, was den Umgang des Jubilars mit manch progressiver Gruppe betrifft: "Engels bügelt nassforsch über die Utopien hinweg"; er urteilte: "Nicht genossenschaftlich, nicht auf Augenhöhe mit anderen Sozialisten." Nicht vor Ort war etwa Peter Hennicke, doch mit seinem Thema "Würde Engels heute für Postwachstum kämpfen?" dürfte er aktuelle Konsumkritik à la "Degrowth" in den Blick nehmen.
Dass das Buchprojekt sich nicht primär biografisch versteht, hatte zu Beginn schon Hubert Hoffmann hervorgehoben, in dessen Verlag "Metropolis" es erscheint und der schon zum Marx-Jahr publiziert hatte. Vielmehr galt es ihm als "Versuch, Engels ins 21. Jahrhundert zu holen."
Insgesamt fand so keine Bestätigung, was man vorab hätte vermuten können: eine etwaige Entpolitisierung. Die Verantwortlichen des Engelsjahrs, namentlich die Kuratoren, stehen allem Anschein nach auf Kriegsfuß mit hiesigen Vertretern der Linken. Schon als das Duo vor zwei Jahren antrat und die Programmplanung begann, gab es Misstöne gegenüber anwesenden Linksorthodoxen. Und auch heute schien das Bedürfnis stark, organisierte Marxisten und andere als gestrig abzutun. Lucas bei Mackensen: "Die Linke hat viel Ballast auf den Schultern. Die betreiben viel Denkmalpflege." Vor lauter Sorge, dort herrsche nur unkritische Engels-Nostalgie, sah der Kurator sich sogar veranlasst zur Richtigstellung, "dass Friedrich Engels nämlich ein politischer Mensch war!". Als ob irgendein noch so traditioneller Marxist im Tal das je bezweifelt hätte. Gerade hiesige Linksaktive pochen doch so vehement darauf, entgegen städtischer Feierlaune die Sprengkraft für den globalisierten Kapitalismus zu betonen. Sah die Engelsjahr-Leitung mit ihrer Verve gegen unkritischen Kult ihre Aufgabe etwa im Entschärfen? Verwässerung im Zeichen besagter "Vielfalt"?
Der Band, so darf man zumindest den Eindruck des Abends resümieren, spricht eine andere Sprache. Beredtes Beispiel dafür mag abschließend der Titel des Beitrags von Martin Büscher sein: "Sein ohne Bewusstsein. Wie die neoliberale Marktwirtschaft ihre eigenen ethischen Funktionsbedingungen aushöhlt und das gesellschaftliche Bewusstsein prägt." Er findet sich im benannten zweiten Sektor, dem zur Weltanschauung also, widmet mithin einige Systemskepsis der Zukunft - sogar ohne dass sie im Abschnitts-Titel stünde.
Martin Hagemeyer
Die Herausgeber: Rainer Lucas, Hans-Dieter Westhoff, Reinhard Pfriem
Buchvorstellung "Arbeiten am Widerspruch - Friedrich Engels zum 200. Geburtstag" am 18. Februar 2020 in Wuppertal.
Ein moderner Mann
Strategische Suche in Zeiten der Gesellschaftskrise
Der junge Engels über die „Bereicherungswissenschaft“, die „Unsittlichkeit“ von Privateigentum und Konkurrenz und die „Heuchelei der Oekonomen“
Friedrich Engels und die Großen Transformationen des Kapitalismus
Religiöser Wahn
Engels und die Dissidenten
Vom Supernaturalisten zum Kommunisten
„Die Natur ist die Probe auf die Dialektik“
Sein ohne Bewusstsein
Gesellschaften transformieren, aber wohin?
Engels’ Stellungnahme zur Wohnungsfrage
Engels und die Stadt
Auseinandersetzung mit Friedrich Engels’ „Ursprung der Familie …“
Nachdenken mit Friedrich Engels
What’s Next, Fred?
Würde Engels heute für Postwachstum kämpfen?
Demokratien leben vom Widerspruch
Friedrich Engels – der erste Marxist?
Von der Wissenschaft zu neuen Utopien – Antworten auf Friedrich Engels
Die Entwicklung der besseren Gesellschaft von der Wissenschaft zur Utopie